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Je vous aime, je vous le dis.

15 octobre 2008

BYEEEEEEEEEEEEEEEEEBYEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

BYEEEEEEEEEEEEEEEEE
BYEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
BYEEEEEEEEE

WAOUUUUUUUUUUUUUUUUUUU
WAOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU

JUSTE MERCI A MES AMIS LES PLUS FIDELES  je vous aime très fort !!!!!!!! très fort !!!!! très fort !!!!!

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1 octobre 2008

rdv

J'abandonne CE BLOG, j en ai crée un autre sous un autre nom...plus intime... adieu 

12 mai 2008

oh mon amour !

musique  : Lost highway Aaron

le 10 mai 2008

Oh mon Amour,
Du haut de tes falaises
Tu n’as rien vu, tu n’as rien vu

Dans ma  bulle rêveuse, j’ habitais,
Dans une petite cage dorée
Cachée et recluse, je sanglotais

Calfeutrée je songeais aux jours meilleurs
Bercée d’illusions vêtues de bonheur
Ressassant  le passé, je m’enfonçais

Mélancolie tu m’as eu
Tu m’as volé mon bonheur
Rend-moi, mes fines envies

Oh mon Amour,
Du haut de tes falaises
Tu n’as rien vu, tu n’as rien vu

En flirtant avec les abysses
J’attendais que le soleil disparaisse
Pour qu’enfin il m’ôte ma paresse

Mon chagrin dissimulé dans mon corps
M’engrossant, j’espérai que tu me vois
Las tes yeux trop voilés, m’ont oubliés

Alors, j’ai fermé mon cœur
Et envahis par mes peurs
J’ai laissé glisser le temps,

Oh mon amour,
D’en haut de tes falaises
Tu n’as rien vu, tu n’as rien vu

J’attendais patiemment,
Que tu me déploies ta main,
Pour me propulser au ciel

Du haut de la falaise 
Pourtant tu as sauté seul
Pour être plus à l’aise

Les braises de mon chagrin 
Ont ravivée la fournaise
De mon grand malaise

Ma cage dorée est calcinée
Je ne peux plus me cacher
Au grand jour, je suis perdue

Oh mon amour,
J’ai perdu plus que la raison
Je voudrais te punir

Oh diable, de mon enfer démesuré
Entre tes mains, toujours et encore
Tu conserves mon doux petit destin

Oh mon amour,
Otes moi mes idées noires
Rend moi ma liberté…

DSC02548

1 mai 2008

Le départ


Nous sommes le 21 avril 2004 ce matin c’est mon anniversaire j’ai 26 ans, j’ai dormi quelques heures…Il est 9h …fatiguée, figée dans mon lit, j’entends un bruit sourd dans la pièce voisine..

Je me lève pour te rejoindre dans ta souffrance, tu es en semi-coma, ton corps ne répond plus de rien, tes poumons n’en peuvent plus, tes muscles sont atrophiés, tu ne trouve pas la force de soulever ta cage thoracique pour prendre quelques bouffées d’air, tu t’étouffes… 

Je prend ta tête dans mes mains tremblantes et je t’aide tant que je peux.. Je n’y arrive pas, je panique…Mes larmes coulent… Après quelques minutes tu avales une petite bouffée d’air et la cadence de tes sauts dans ton lit reprend …

Je t’admire pour ton courage, si faible tu cherche un peu d’air…en forçant avec tout le petit reste de muscles qu'il te reste….tu  étais un battant, un travailleur,  tu me l'as prouvé jusqu’au bout… Tu m'as enseigné tes valeurs, je suis moi grâce à toi..

Le soir, maman est parti se reposer, c’est mon tour de garde… Je m’installe dans mon grand salon ou toute les fêtes familiales avaient eu lieu dont mon anniversaire, là où on avait passé des soirées en famille avec plein de bons souvenirs…

Mais ce soir là, la table à manger est remplacée par un lit médical qui grince à chaque respiration… Je m’assoie dans mon fauteuil face à toi, un livre à la main pour affronter cette scène, je chuchote «  je n’en peux plus de te voir comme ça.. tu ne voudrais pas te voir comme ça…Il faut que ça s’arrête… »

Comme dans les films dramatiques si bien orchestrés, :  le lit arrêta de grincer, je suis resté les yeux grands ouverts comme une spectatrice, mes muscles se sont figés…Je n’ai pas pu me lever pour prendre la main de celui qui m’avait donné la vie….  tu as ouvert tes yeux et tu les as refermés…

J’ai débranché l'appareil à oxygène et le silence a remplacé la douleur….


 

30 avril 2008

Notre Arbre

Notre arbre est devenu le mien, le 30 mai 2008


Je suis les racines, tu es l’eau de notre arbre

Je suis sous terre, tu es sur les montagnes

Les feuilles ne caressent plus la lumière

Elles se meurent près de notre tronc

La sécheresse brise nos rameaux.

Pourquoi as-tu condamné la cascade ?

Notre résineux était pourtant si fort, si beau

Je ne peux croire en sa disparition

Si je cesse de pleurer je l’abandonne,

Alors il n’en restera que la souche,

Plantée comme une croix

Dans un monde sans toi

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Je vous aime, je vous le dis.
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